Nombreux sont les jeunes Bulgares qui après avoir terminé leurs études secondaires ne souhaitent pas travailler dans la production. Ils se voient plutôt engagés dans les secteurs des services. Le choix de ces derniers est le plus souvent orienté vers les métiers de mécanicien, coiffeuse, policier ou bien cuisinier, les jeunes ne s’intéressant pas vraiment aux professions de financiers, scientifiques, chercheurs ou entrepreneurs. C’est ce que montrent les résultats d’une étude mondiale du PISA effectuée par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) datée de 2018. Il n’existe pas d’explications sur ce choix de professions de la part des jeunes Bulgares. Les changements d’envergure se produisant sur le marché de travail, ainsi que les nouvelles professions plus modernes n’impressionnent guère la jeunesse bulgare. A une exception près – un garçon sur 6 en Bulgarie s’intéresse aux IT et voudrait s’en occuper, ce qui n’est pas le cas des filles.