« Ce n’est pas pour la première fois que nous nous produisons dans la capitale française, mais c’est notre premier concert à Notre-Dame de Paris », nous confie son directeur artistique Dimitar Dimitrov, qui est un des premiers à avoir fondé ce chœur masculin de musique orthodoxe en 1967. Les chanteurs choisissent le nom de leur formation en hommage à Jean Coucouzèle, chantre et théoricien de la musique sacrée et liturgique de l’Église orthodoxe au Moyen-âge, doté d’une voix d’une beauté exceptionnelle qui lui vaut le surnom Angeloglasni, voix d’ange en bulgare. Jean Coucouzèle est le compositeur d’une centaine d’œuvres dont la plus célèbre est le Polyéléos de la femme bulgare, dédié à sa propre mère. »
Cela fait 50 ans que le chœur « Jean Coucouzèle - la voix d’ange » défend dignement le nom de son patron. Les chanteurs talentueux se sont produits à de nombreux festivals de musique sacrée en Russie, Italie, République tchèque, France, Suisse, entre autres ».
Nous avons rencontré Guéorgui Mikov, second du chef d’orchestre, choriste et gérant de l’Association « Jean Coucouzèle » :
„A la demande de la partie française, nous avons préparé un programme composé essentiellement d’œuvres bulgares. Notre concert sera en deux temps, une première partie composée de chants à une voix avec des chefs d’œuvres choraux anciens et de la région d’Eléna, et une deuxième partie avec les œuvres polyphoniques des compositeurs Ivan Kotchétov, Pétar Dinev, Dobri Hristov et Stoyan Malinov. Bien sûr, nous nous ferons le plaisir d’interpréter des œuvres de Jean Coucouzèle. J’espère que le public appréciera ce contact avec la culture spirituelle bulgare. »
Pour plus d’information sur le concert et les tarifs, suivez ce lien :
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