Le parti GERB se présentera donc tout seul aux municipales, même s’il pourra compter dans certaines circonscriptions sur le soutien du MDL, ce qui n’est pas un précédent. A ce propos, GERB ne prend pas au sérieux les avertissements d’une malédiction qui pèserait sur quiconque jouerait ensemble avec le parti des Turcs ethniques. Le MDL n’a pas non plus à perdre de son appui au parti GERB, car cela se produira là où ses positions sont faibles et sa victoire, n’est pas du tout acquise…
Le Bloc réformateur de droite qui forme une coalition avec le parti GERB au gouvernement, a obtenu des résultats insuffisants/insignifiants/ lors du dernier scrutin. La grande question qui se pose maintenant est de savoir si les partis qui le constituent pourront signer un pacte et se présenter en bloc, ou pas ! Toujours est-il que si la consolidation n’a pas lieu, la crise de la droite traditionnelle s’approfondira. Combinée à l’impuissance du PS, cette situation ne fera que renforcer les positions du parti GERB de centre-droit.
Pas non plus d’entente et d’alliance au sein des formations qui constituent le Front patriotique qui par endroits joueront même l’une contre l’autre…
Pour résumer nous pouvons dire qu’il reste encore pas mal d’inconnues à la veille des municipales en Bulgarie. Même le referendum dont l’unique question sera si les Bulgares sont pour ou contre le vote électronique ne fait pas l’unanimité. Bien plus, tout porte à croire que cette consultation populaire est totalement marginalisée, compte-tenu des enjeux du scrutin municipal.
"Une réunion surprenante. Moi, personnellement, je pense que tous les leaders de l'UE et de la Grande-Bretagne devaient y être conviés". Tel a été le commentaire de la vice-présidente Ilyana Yotova au sujet de la réunion sur l'Ukraine, convoquée ce 17..
La ministre des Finances, Téménoujka Pétkova est arrivée à Bruxelles pour défendre l'ambition de la Bulgarie à rejoindre la zone euro. Elle assistera ce 17 février à la réunion de l'Eurogroupe, contrairement à l'information sur son absence de la rencontre...
"Il y a enfin une volonté politique au plus haut niveau de maîtriser le conflit entre l’Ukraine et la Russie avec les moyens de la diplomatie et l’on doit appuyer ce processus". C’est ce qu’a déclaré à des journalistes le président bulgare Roumen..