La musique jazz est synonyme de liberté ! Une forme d’expression qui a fait de nombreux heureux dès son apparition. Et la chanteuse de jazz Lily Iliéva vient nous le confirmer avec la promotion de son premier album “No Stars At All”, qu’elle a enregistré avec les musiciens de « Minimum quartet ». 7 chansons dont une a donné le titre de l’album et qui est entièrement composée par la chanteuse.
J’ai fait mes études de jazz au Conservatoire « Prince Claus » à Groningen aux Pays-Bas, nous confie Lily Iliéva. – Mes autres amis musiciens ont aussi fait leurs études dans ce même conservatoire, mais à quelques années d’écart. C’est au Danemark d’ailleurs que nous avons acquis nos idées et visions sur la musique. Et je suis reconnaissante d’avoir eu cette chance, car le cursus proposé par le conservatoire à Groningen est très riche et varié. J’y ai rencontré des musiciens professionnels qui continuent à se produire sur scène, surtout aux Etats-Unis. J’ai donc puisé à la source. Sinon, Groningen est une cité universitaire où cohabitent des jeunes du monde entier.
Ce qui nous a réunis avant toute chose, c’est notre amour pour la musique. Une vraie alchimie sans laquelle rien n’aurait pu arriver. Ce qui est aussi très passionnant c’est que nous avons tous le sens de l’improvisation ce qui fait qu’on ne s’ennuie jamais sur scène. Un échange permanent pendant que nous jouons. Lorsque nous sommes rentrés en Bulgarie avec Alexandre et qu’on a commencé à rencontrer des musiciens de jazz, nous avons tout de suite trouvé des amis qui partageaient nos idées. Et c’est ainsi que « Minimum quartet » a vu le jour. Nous avons commencé au début par revisiter des grands standards du jazz, avant de penser à composer nous-mêmes notre propre musique…
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