Les machines de vote pour les législatives anticipées du 11 juillet ont été testées afin que soit garantie leur fiabilité. C’est ce qu’a déclaré Krassimir Simonski, président de l’Agence d’Etat « Gestion électronique » devant des IT experts – représentants des partis enregistrés pour participer aux élections et de l’OSCE.

Lors de la rencontre il a été souligné que chaque électeur a le droit de vérifier lui-même le bon fonctionnement de la machine dans le but de constater si celle-ci a bien enregistré le vote via le récépissé qui présente sur papier tout le texte relatant en entier son choix.