Des politiques et des députés n’ont pas été mis sur écoute – c’est ce qu’a constaté une enquête du Service national d’investigation après la décision du parquet de Sofia de s’autosaisir sur la base de publications dans les medias. Des infractions et irrégularités commises par des employés de l’Agence à la sécurité nationale, la brigade antigang et la Détection « Sûreté intérieure » du ministère de l’Intérieur lors de l’utilisation de moyens de renseignement spéciaux, leur stockage et la destruction de l’information obtenue grâce à ces moyens. En raison du manque de preuves concernant un délit accompli, l’enquête est suspendue et close.