J’espère que les services spéciaux et les forces de l’ordre fonctionnent de manière à ce qu’il n’y ait pas en Bulgarie des boîtes de Pandore qui n’ont pas été ouvertes, a déclaré Roumen Radev à propos des révélations de l’investigation journalistique internationale. A Blagoevgrad, où il est en visite, Radev a refusé de répondre à la question s’il connaît le nom du deuxième politique bulgare mis en cause par l’enquête.

L’information que contiennent les « Pandora Papers » n’est certainement pas complète. C’est de cette manière que le ministre de la Justice Yanaki Stoilov a commenté l’enquête qui a mis en cause deux politiques bulgares possédant des sociétés off-shore. « Délyan Péevski aurait dû déclarer ses firmes off-shore. Si l’Agence des impôts et la Commission anti-mafia ouvrent des enquêtes on verra encore beaucoup de choses », considère Stoilov.