Ce 12 mai se tiendra à Sofia la première conférence en Bulgarie présentant les possibilités des nouvelles technologies numériques pour la modernisation du secteur public. Certains sujets évoqués seront le portefeuille d'identité numérique, les possibilités de vérification rapide et facile de diplômes dans d'autres pays, le suivi de documents et l'utilisation du blockchain comme "notaire numérique".
Le blockchain, ou technologie de "chaînes de blocs" est une nouvelle infrastructure numérique de sécurisation des opérations en ligne. Elle offre de nouveaux horizons pour les services publics à travers des opérations plus transparentes et plus efficaces. Elle permet de renouveler notre approche des services aux usagers dans l’espace européen autour de politiques publiques plus décentralisées, centrées sur les personnes, favorables à la participation citoyenne et à la souveraineté numérique.
L’Ambassadrice de France Florence Robine et le Ministre de la Gouvernance Numérique Bojidar Bojanov accueilleront des invités, des experts français, bulgares et européens de premier plan de la technologie blockchain pour discuter de cette question. Les représentants de la société civile, du secteur privé et des institutions européennes (Parlement européen et Commission européenne), dont l'eurodéputée Eva Maydell, débattront des implications de cette nouvelle technologie pour notre avenir à tous.
Le forum est organisé par l'Institut français de Bulgarie et la fondation "Startup Factory" avec le soutien de l'Ambassade de France en Bulgarie et s'inscrit dans les initiatives liées à la présidence française de l'UE.
Le Fonds Mondial pour la Nature /WWF/ lance en Bulgarie une campagne de dons "Un abonnement pour la Nature". La disparition progressive des animaux sauvages est une série dont nous sommes le personnage principal. En l'espace de moins de la durée d'une..
La vice-présidente du parlement de la Macédoine du Nord, Vesna Bendevska aurait saisi le parquet à Bitola à cause du fonctionnement du Centre culturel bulgare "Ivan Mikhaïlov", alors qu'il avait été rayé du registre central, annonce l'agence BTA, relayant..
"Si la crise politique s’aggrave, le manque à gagner atteindra un seuil critique qui fera perdre au business bulgare sa compétitivité, à cause des déficits qui se creusent dans l'enseignement, la santé publique, les infrastructures, le développement..