L’Église orthodoxe bulgare commémore ce 17 septembre les saintes martyres Sophia /Sophie/ et ses filles Foi, Espérance et Amour, suppliciées au nom de la foi chrétienne en l’an 126 sous le règne du l’empereur Hadrien. Le 17 septembre est également la fête de la capitale bulgare. Sofia signifie en effet "sagesse" en grec en référence à la sagesse divine. Choisie pour devenir capitale de l’Etat bulgare en 1879 – un an après la libération du pays – celle qui a pour devise "Grandit, mais ne vieillit pas", est riche d’une histoire séculaire, marquée par l’empreinte de personnalités historiques comme Philippe II de Macédoine et Alexandre le Grand.
Tous ceux qui ont pour prénom Viara, Verka, Nadéjda, Nadia, Lubov, Luba, Luben, Lubomir, Sofia et Sofka ont leur fête.
Des archéologues ont fait des découvertes d’exception sur le chantier d’une gare routière à Sozopol. Un monastère datant de la fin du 11 e siècle a été mis au jour. Une église de la deuxième moitié du 12 e siècle, construite sur une nécropole..
L’exposition "Trebenichté : 105 ans de la découverte de la nécropole, 1918 - 2023" est à voir en ligne sur le site de l’Institut d’archéologie de l’Académie bulgare des Sciences dans la section "Expositions numériques", comme rapporté par l’agence..
Construite en à peine quelques mois par la communauté bulgare à Edirne, l’église "Saint-Georges" à Edirne préserve l’esprit orthodoxe bulgare depuis déjà 144 ans. Sa construction a démarré le 23 avril 1880 avec l’autorisation du sultan..