Après le roman "Le pays du passé", c'est la "Physique de la mélancolie" de Guéorgui Gospodinov qui vient de sortir dans sa version anglaise en Grande-Bretagne. A cette occasion, l'écrivain bulgare a donné une interview au "The Guardian" disant qu'un roman ne doit pas ressembler à un train qui circule entre le point A et le point B. Il peut aussi prendre des détours et dévier dans un sens ou l'autre comme la pensée humaine. Interrogé sur la Bulgarie comme un lieu d'écriture, Guéorgui Gospodinov a répondu que c'est un endroit chargé d'histoires qui dans la plupart des cas restent inconnues à cause de la culture du silence, héritée de l'époque du communisme lorsque la liberté d'expression était lourde de conséquences. Il a ajouté que c'est dans les années d'après 1989 que sont sorties ses premières publications, pleines d'énergie et de sentiment de partage, comme lors d'un carnaval.
Le dimanche de la Toussaint, quand l’Église orthodoxe bulgare célèbre tous les saints bulgares, connus et inconnus, les chrétiens orthodoxes bulgares ont accueilli leur nouveau patriarche : le métropolite (évêque) de Vidin Daniel, salué par des..
Il insuffle vie aux marionnettes en bois. Et pourtant, c’est elles qui tirent les ficelles invisibles de sa vie. Il grande lupo bulgaro – c’est ainsi que les Italiens surnomment le marionnettiste bulgare Teodor Borisov. Il tient en effet à son..
Le peintre cosmopolite Phénix Varbanov est venu de Paris à Sofia pour y présenter son exposition "Courant d’arrachement" qui continue jusqu'au 31 mai. Son œuvre majeure est "Une goutte d’eau dans l’océan", mais le but de toute l’exposition est de..