Apparemment, les élèves de l’Ecole nationale des Arts folkloriques « Filip Koutev » à Kotel n’ont rien de différent des autres jeunes du même âge. Ils ont les mêmes téléphones dernier cri, coiffures modernes et sont tout aussi joyeux et bruyants. La seule différence, c’est qu’ils ont choisi de se consacrer au folklore bulgare. Pour eux, celui-ci représente le rêve réalisé, le futur, une profession, des scènes au pays et à l’étranger...
" N'était le vin fou, la vie ne serait pas un miracle ", c'est ce que dit une chanson folklorique consacrée à une des fêtes les plus anciennes et respectées en terres bulgares, dédiée à Saint Tryphon-le-Vigneron. En effet, en ce 1er..
C’est dans la vie de saint Dasius de Durostorum datant du 4 e siècle que l’on peut lire la première description de Sourva en terres bulgares : "Car même si le monde prend fin, cette mauvaise coutume ne sera pas abandonnée. Pire encore, elle est..
Perché dans les montagnes des Rhodopes, le village enchanteur de Ribnovo, dont la population est majoritairement composée de Pomaques, un groupe de musulmans bulgarophones , s’ouvre peu à peu au reste du monde. Il y a encore dix ans, ce hameau..